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Photo du rédacteurDenis THUILLLIER

Procrastiner ne coûte pas que du temps


ça attendra demain … qui ne s’est pas dit ça avant de remplir sa feuille d’impôt, de commencer un rapport, ou de changer le sac poubelle ?

Remettre à plus tard, c’est s’infliger une double voir une triple peine … Les neurosciences ont permis d’observer que les zones du cerveau qui s’activent lorsqu’on voit ou qu’on entend sont les mêmes que celles qui s’activent quand on les imagine.

On sait aussi que nos comportements sont dictés par nos habitudes les plus ancrées car la répétition a forgé avec le temps des « autoroutes » neuronales qui s’activent par automatisme. C’est ainsi que des gestes et des pensées deviennent automatiques, qu’ils soient installés par la répétition inconsciente ou par un entraînement choisi.


Lorsqu’on procrastine, on reporte l’action mais pas les pensées et leurs émotions associées. Plus on pense à ne pas le faire, plus on se convainc que c’est pénible et … plus on se pourrit la vie.

Dès la 1ère étape de l’action, les pensées s’orientent vers les solutions, on avance et les émotions associées génèrent de l’énergie.


Alors le bon choix c’est de commencer tout de suite, parce que le coût émotionnel de ne rien faire vous fatigue de manière invisible mais bien réelle.


A vous de jouer :)

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