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Photo du rédacteurDenis THUILLLIER

La bienveillance : faiblesse ou levier de performance ?



La bienveillance dans le management, vous y croyez ? C’est un levier de performance ou un aveu de faiblesse ? Comment peut-elle desserrer l’étau de l’adversité, de la concurrence et de l’exigence client ?


Il y a urgence à trouver une réponse, à l’heure ou le burnout est reconnu comme une maladie par l’OMS et ou une étude de CadreEmploi de 2019 faisait état que les cadres à 60% souffraient d’une trop lourde de charge de travail, de trop de pression, d’un manque de reconnaissance et … de stress.

Quelle est la juste voie pour éviter que la pression mène aux pires extrêmes, comme ces vagues de suicides que des entreprises ont connues.


Pour le Dalai Lama la bienveillance est l’essence même du leadership qui doit avoir : « un souci inconditionnel du bien-être de ceux qu’ils guident ».

Le leader est comme le guide en montagne ou le skyper sur la mer, c’est grâce à sa capacité à rester stable émotionnellement malgré la pression de l’enjeu, qu’il peut faire preuve d’une réelle empathie sans rien renier des objectifs à atteindre.

La combinaison de l’énergie et de l’intelligence émotionnelle libère une énergie de confiance qui mobilise les collaborateurs sans les stresser. C’est la même alchimie qui permet aux athlètes d’accéder au flow et de battre leurs records.

Acquérir un mental de champion n’est plus seulement la vertu des athlètes. En appliquant la même logique d’entraînement on apporte à l’entrepreneur des compétences pour gérer l’interaction entre le corps, le mental et les émotions et faire gagner ses équipes, notamment quand le quotidien devient difficile.

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