Je vous parlais précédemment des facteurs de stress.
Contrairement à une croyance largement répandue ce sont moins les situations elles-mêmes qui génèrent du stress, que la représentation mentale qu’on en a.
Toute la question devient donc de s’entraîner à développer notre capacité à rester stable émotionnellement en écartant les préjugés, les aprioris, et les jugements de valeur et en devenant conscient de nos interprétations.
La pression monte :
- Quand les choses ne vont pas assez vite ou tel qu’on vous l’auriez voulu.
- Quand la situation vous agace …
- Quand on vous regarde, qu’on vous attend, qu’on compte sur vous …
- Quand vous êtes sous l’obligation de réussir du premier coup … ou de réussir durablement sur le long terme avec régularité …
A différents degrés, ces pressions perturbent votre attention, modifient vos pensées et dégradent vos émotions. Elles ont un impact mesurable sur votre rythme cardiaque et vos comportements et vous empêchent de vous adapter sereinement aux situations.
Quel serait l’impact sur votre qualité de vie, au travail et partout ailleurs, si vous aviez les moyens de reprendre le contrôle de vos émotions, de choisir vos pensées et de vous reconcentrer quand votre attention s’échappe ?
Dans l’entreprise les effets de davantage de stabilité émotionnelle sont mesurables dans la qualité des réunions, à la fois au niveau du temps passé que dans la capacité des équipes à s’adapter plus rapidement aux situations.
Au plan des collaborateurs, c’est moins de fatigue, une meilleure capacité à récupérer et donc à mieux profiter de la vie après le travail.
Les effets collatéraux ont aussi un réel impact sur la qualité de la relation client.
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